« Orphelinat Saint-Augustin (Condeau) » : différence entre les versions
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L''''Orphelinat Saint-Augustin''', est un ancien orphelinat situé au lieu-dit [[Germonville (Condeau)|Germonville]] sur l'ancienne commune de [[Condeau (commune)|Condeau]] ([[Sablons-sur-Huisne (commune)|Sablons-sur-Huisne]]). | L''''Orphelinat Saint-Augustin''', ou '''Orphelinat de Germonville''', est un ancien orphelinat situé au lieu-dit [[Germonville (Condeau)|Germonville]] sur l'ancienne commune de [[Condeau (commune)|Condeau]] ([[Sablons-sur-Huisne (commune)|Sablons-sur-Huisne]]). | ||
Il a été inauguré un 21 Mai 1934, un lundi de Pentecôte. Le matin, sa chapelle fût bénite par l'évêque de Séez, et l'après-midi l'orphelinat lui-même et ses quatre petites cloches furent bénites par le cardinal Verdier, archevêque de Paris<ref>[https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k413980d/ | Il a été inauguré un 21 Mai 1934, un lundi de Pentecôte. Le matin, sa chapelle fût bénite par l'évêque de Séez, et l'après-midi l'orphelinat lui-même et ses quatre petites cloches furent bénites par le cardinal Verdier, archevêque de Paris<ref>[https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k413980d/ Journal ''La Croix'', n°15716, <u>Groupe Bayard</u>, 16 Mai 1916 p. 2, Collection Gallica, Bibliothèque Nationale de France]</ref>. | ||
Il est composé d'une maison de gardiennage, d'un bâtiment principal incluant une chapelle, d'un garage, et d'une annexe dans un style plus récent. Le site est actuellement à l'abandon. | Il est composé d'une maison de gardiennage, d'un bâtiment principal incluant une chapelle, d'un garage, et d'une annexe dans un style plus récent. Le site est actuellement à l'abandon. | ||
Dernière version du 8 juin 2024 à 19:58
L'Orphelinat Saint-Augustin, ou Orphelinat de Germonville, est un ancien orphelinat situé au lieu-dit Germonville sur l'ancienne commune de Condeau (Sablons-sur-Huisne).
Il a été inauguré un 21 Mai 1934, un lundi de Pentecôte. Le matin, sa chapelle fût bénite par l'évêque de Séez, et l'après-midi l'orphelinat lui-même et ses quatre petites cloches furent bénites par le cardinal Verdier, archevêque de Paris[1].
Il est composé d'une maison de gardiennage, d'un bâtiment principal incluant une chapelle, d'un garage, et d'une annexe dans un style plus récent. Le site est actuellement à l'abandon.
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